Une semaine de travail et de rencontres

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La semaine dernière a commencé par le rassemblement avec les salariés de Nice Matin. C’était la première audience auprès du tribunal de commerce pour examiner les repreneurs potentiels. Le choix se fera après une deuxième audience le 23 octobre. Ce sera soit les requins de la finance de la bande à Rossels avec plus de 400 licenciements ou le projet de la SCIC venant des salariés avec un peu plus de 100 départs volontaires.

A ce sujet Estrosi et Ciotti, refusent toujours de participer à des prêts pour le projet SCIC, la sauvegarde de l’emploi ne les intéresse pas !

A savoir qu’à plénière de la région, les élus UMP et FN ont refusé de voter l’aide de la région au projet SCIC des salariés !

Mardi, notre permanence logement est toujours active. On lance notre tract pour la participation à la concertation publique sur le quartier Marenda-Lacan et demander les 50% de logements sociaux promis par le Maire au mandat précédent.

Mercredi, conseil national du PCF à Paris pour faire un point de notre feuille de route du mois de novembre et préparer la conférence nationale du 8 novembre.

Jeudi, installation de la table du PCF au milieu des manifestants sur la place Masséna à Nice. Des centaines de cartes pétitions signées et seront envoyées à François Hollande pour dire NON à la politique d’austérité. Le soir, assemblée de notre section à Antibes où l’on met au point nos initiatives à venir. (campagne sur la gratuité des transports en commun, concertation publique, examen des nouveaux cantons, débat politique sur notre volonté de rassembler autour d’une alternative de gauche, contre l’austérité)

Vendredi, conseil départemental à Nice et rencontre avec Sonia Hassine, candidate du Front Populaire Tunisien pour les élections législatives du week-end prochain.

Samedi, débat sur les valeurs de gauche avec le PS, EELV, MRC, Nouvelle Donne et le PCF. J’ai exprimé le sentiment de trahison du peuple de gauche, les multiples renoncements du gouvernement, les reniements des valeurs de gauche du gouvernement. J’ai vu des militants socialistes très perplexes, très peu convaincus quand ils entendent leurs responsables fédéraux (Paul Cuturello ou Patrick Allemand) défendre le gouvernement en expliquant qu’il ne peut pas faire autrement et ne jamais parler d’inégalités, de paupérisation !

Et oui messieurs les responsables du PS, pour rassembler la Gauche, il faut d’abord être de Gauche !

Une semaine de travail et de rencontres
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